Au lendemain de la tentative de coup d’État du 7 décembre, le Bénin reste profondément meurtri. À Cotonou, l’émotion est vive après l’annonce du décès de l’épouse du général Bertin Bada, tuée lors de l’assaut mené par un groupe de militaires impliqués dans le putsch. Alors que les premiers témoignages font état d’une attaque d’une rare intensité, le pays se réveille sous le choc de ce drame inattendu.
Selon les informations recueillies, le quartier où réside le haut gradé figurait parmi les points les plus visés par les assaillants. Des tirs nourris ont éclaté aux abords de sa résidence, plongeant toute la zone dans une scène de confusion et de panique. C’est dans ce climat de violence que l’épouse du général a été mortellement touchée, suscitant une immense tristesse au sein de la famille et de l’opinion nationale.
Alors que l’opération subversive a été rapidement neutralisée par les forces régulières, le gouvernement a annoncé le rétablissement progressif du calme. Les autorités promettent d’établir toutes les responsabilités liées à ce coup de force manqué, tandis que les populations réclament transparence et justice pour comprendre les circonstances exactes de cette tragédie.
Bien que le putsch ait échoué, il laisse derrière lui une blessure profonde. Le décès de l’épouse du général Bada symbolise le coût humain des actions armées contre les institutions.
