Plus de 2 000 classes construites et 4 400 enseignants recrutés en 2024
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Lors de son discours de vœux à la nation, le président Faure Gnassingbé a mis en lumière des avancées significatives dans le domaine de l’éducation au Togo, malgré un contexte mondial difficile. Il a souligné que 2 000 salles de classe ont été construites ou réhabilitées en 2024, inscrites dans les 7 000 classes réalisées depuis le lancement de la feuille de route gouvernementale Togo 2025. Ces efforts visent à améliorer l’accès à l’éducation pour tous les enfants togolais, notamment dans les zones rurales.
Dans la continuité de ces progrès, le chef de l’État a annoncé l’ouverture de 4 400 nouveaux postes d’enseignants lors du concours national de décembre 2024. « Avec ces nouvelles recrues, le nombre total d’enseignants recrutés sur les quatre dernières années atteint 15 000, un record historique pour notre pays », a-t-il déclaré. Cette augmentation des effectifs vise à répondre à la demande croissante d’éducation de qualité dans toutes les régions du Togo.
Outre les infrastructures et les ressources humaines, des efforts importants ont été consentis pour améliorer l’environnement éducatif global. « La construction d’infrastructures scolaires modernes s’accompagne d’une meilleure répartition des enseignants et d’un suivi rigoureux pour garantir des résultats tangibles sur le terrain », a précisé Faure Gnassingbé, insistant sur l’importance de la coordination des politiques éducatives.
Le président a également rappelé que ces avancées ne sont qu’une partie des objectifs de la feuille de route Togo 2025. « Nous devons poursuivre ces efforts pour offrir une éducation accessible, inclusive et adaptée aux besoins de nos jeunes », a-t-il affirmé, tout en appelant à une mobilisation nationale pour consolider ces acquis.
Avec ces réalisations, l’année 2024 s’est révélée cruciale pour l’éducation au Togo. Ces résultats témoignent de l’engagement du gouvernement à placer l’éducation au centre du développement national et de la lutte contre les inégalités sociales.
Jeremy Ahossou
